Si vous envisagez une expansion de votre entreprise par le biais d’une fusion ou d’une acquisition, vous devez savoir certaines choses. Selon la BDC, au cours des cinq prochaines années, plus de 40 % des entrepreneurs canadiens se retireront de leur entreprise en la vendant à un tiers ou en la transférant à la famille. Ce sont les bonnes nouvelles. Cependant, selon un récent rapport de la Harvard Business Review, le taux d’échec des fusions et acquisitions (F&A) se situe entre 70 % et 90 %. Ce ne sont pas de bonnes nouvelles.

La plupart des stratégies d’optimisation de planification et d’évaluation de vente ou d’achat mettent l’accent sur la fiscalité, l’augmentation de la liste de clients, la croissance des actifs durables, l’efficacité manufacturière et la maximisation de la propriété intellectuelle. Cependant, l’actif souvent oublié, rarement valorisé ou carrément ignoré que sont les personnes et la culture est caché au dos d’un rapport, comme la section Opinion du lecteur de votre journal quotidien.

La plupart des conseillers se concentrent sur ce qui est facile – les « sciences exactes » traditionnelles réservées aux comptables, aux avocats et aux fiscalistes. Pourquoi? Parce que cela s’inscrit facilement dans une simple liste de contrôle. C’est peut-être pour cette raison que la majorité des fusions et acquisitions n’apportent aucune valeur réelle.

L’évaluation du capital humain et de la culture d’entreprise, l’intégration et l’évaluation des risques sont difficiles. Mais il n’est pas nécessaire qu’il en soit ainsi.

Le 17 octobre, joignez-vous à Pvisio et The Pillars afin de faire la lumière sur une composante des opérations commerciales souvent nébuleuse – les synergies de capital humain et de culture – en vue d’une fusion ou d’une acquisition réussie.